CRITIQUE | L'OSM à Bruxelles : un crescendo vers le sublime

Certains instrumentistes se couvrent de gloire : on n’est pas près d’oublier la trompette solo ou le tuba. Face aux incessants rappels du public, Nagano propose en bis une Valse de Ravel aérienne et féline, qui n’aura jamais été aussi proche de ses modèles viennois, avec ce qu’il faut de cauchemar a la fin. La salle est hors d’elle.